Du Karel Appel? Y en a. Du Asger Jorn? Y en a. Pas étonnant chez ce jeune peintre qui a vu le jour en même temps que le mouvement CoBrA. Gérard Stricher est avant tout un grand coloriste. Une petite visite sur son site pour vous faire une idée ces abstractions lyriques. Je suis son travail depuis plusieurs années et je suis toujours autant saisi par ce déferlement de couleurs. Gérard étant workalcoholic, son travail du coup évolue vite. Aujourd'hui il semble que l'artiste ait enfin trouvé le début d'une réponse à laquelle il consacrera sûrement les prochaines années. En effet, n'est-il pas excitant de suivre son travail à l'aube d'un nouveau courant dont il se pourrait bien qu'il soit le précurseur? Reste à trouver un nom à ce courant: Néo-CoBrA, Post-CoBrA, CoBrAPar (pour Paris bien sûr, pourra s'écrire aussi CoBr à Part, CoBrAP'art).
En tout cas c'est bien que Schwab le présente car les américains sont en train de nous le piquer (Chicago, Huston - expo en ce moment aussi, Fondation Pepsi Cola). A ne pas manquer!
A noter aussi un long article consacré au travail de Gérard dans le magazine AZart
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"Autoportrait" Oil on canvas 200x200 cm 2012 (Je n'avais jamais remarqué que tu avais les yeux verts;) | "Melancholia" Oil on canvas 130x162 cm | "Terres de Feu" Huile sur toile 89x116 cm |
Merci Elphège pour "le coup de pouce"
Rédigé par : stricher gerard | 27/10/2012 à 03:40